L’étude a suivi chaque semaine entre octobre et début janvier plus de 1,2 million de résidents d’hospices pour anciens combattants. Ceux qui n’étaient pas adéquatement vaccinés avaient de 30 % à 50 % plus de risques de recevoir un diagnostic de COVID-19.
L’étude, publiée vendredi par les Centres de contrôle des maladies (CDC) du gouvernement américain, prévient aussi que des facteurs confondants pourraient expliquer ces résultats. Les personnes non adéquatement vaccinées pourraient être plus vulnérables, notamment. Une vaccination adéquate était définie comme une vaccination de base à deux doses, avec une dose de rappel bivalente, ou alors une dose de rappel tous les deux mois.